Ah ! La Monarchie sorcière, prétendue garante de l'indépendance française... Un « mal nécessaire », disaient-ils, une « mesure de défense » provisoire commandée par l'urgence de la situation. Il y eut de fort beaux discours où l'on rivalisa de générosité : les plus dignes représentants de la magie devaient absolument travailler à préserver des vies chaque jour un peu plus dépréciées outre-Manche, veiller à ce que les moins purs d'entre eux ne soient jamais, jamais taxés de Sang-de-bourbe. Fallait-il pour cela s'enfoncer dans un simulacre d'idéologie puriste ?